Billiotte vient du métier de boucher qui a donné le billot, puis le Billotte
3 clés pour votre entreprise concernant la marque employeur
1. La marque employeur (ou marque recruteur) était le domaine réservé des ressources humaines…
… jusqu’à ce que le recrutement devienne un problème clé dans de nombreux secteurs d’activité et pour des entreprises de toutes tailles.
Les Industries Technologiques (E.T. téléphone maison !) ne sont plus les seules à crier famine. Le secteur comptable, le bâtiment, le transport, la logistique… cherchent désormais salariés – ni à leur pied ni à leur botte – mais simplement informés de l’existence des postes à pourvoir (comment émerger dans l’INFObésité ?), motivés à les rejoindre (mais c’est qui cette boîte ?) et conscients des impératifs des (très nombreux) postes à pourvoir (quel est l’intérêt de ce métier ?).
Avant, donc, les RH soignaient l’expression de la marque dans les annonces de recrutement et auprès de leurs publics internes. Mais ça c’était avant.
2. Aujourd’hui, la marque recruteur est un concept obsolète
La marque employeur l’a détrônée car elle dépasse cette communication séduisante et un tantinet superficielle en s’appuyant sur une réflexion plus globale qui embrasse l’ensemble des activités de l’entreprise (quand elle l’embrase, c’est encore mieux ;-).
La marque employeur englobe l’ensemble des expressions de la marque à l’interne comme à l’externe, au nom de la performance économique, au service du recrutement, mais aussi des ventes, de la notoriété, de la e-réputation…
3. Les premiers clients de la marque employeur sont les salariés de l’entreprise,
Comment les fidéliser, leur (re)donner de la fierté d’appartenance, les candidats, les écoles, les partenaires sociaux…
… la clé de la réussite réside dans la cohérence de la communication.Que penserait un nouvel embauché à qui on a promis une ambiance unique et branchée s’il découvre une offre de services promue à l’ancienne ?
Ma grand-mère en connaissait déjà un rayon sur la marque employeur puisqu’elle me donnait envie de travailler dans son entreprise et de m’y investir à fond du haut de mes 10 ans. Le secret de la réussite, c’est le BSP* cher à Jacques Bachmann, un des inventeurs avant l’heure d’une stratégie de recrutement et de fidélisation de ses salariés hors-norme.
Inspirons-nous de ce qui se faisait de meilleur par le passé en le nourrissant de ce que permet aujourd’hui la communication multicanal, simplement, en faisant preuve du *Bon Sens Paysan.